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  • Decapitation Gone Wrong in China, c. 1900 June 15, 2012

    Author: Beach Combing | in : Medieval, Modern , trackback

    ***Gruesome post warning***

    Bad day? Children sick? Feel a bit depressed? Dog ate your laptop? Then do yourself a favour and move on. The following includes some very unpleasant details from a Chinese execution c. 1900, when medieval lingchi (death by cutting) was still in operation. The following execution was not planned as lingchi but became so when one of two prisoners did not cooperate with the executioner.

    Last chance, this post could spoil your day…

    And then there is silence as the group makes its way to higher ground where the soldiers line up as on parade with banners and horns to the front. One of the convicts takes up position, his knees akimbo and with an outstretched neck, he waits, quite desperate. The executioner takes a step back, measures his drive and lifts his machete with both hands… We hear a thud and rasping: and the severed head jumps a meter, you cannot see the body as there is a scarlet collar which squirts blood with the sweet sound of a soft brook over pebbles. The neck cut is clean, without error: it is a master stroke. The other prisoner would envy so quick a death. Now the attention is on the second man and it is seen that through weakness or terror he has remained lying stomach down. The executioner, a crafty little old man, attempts to explain to the other the incorrectness of his position, which hardly helps the executioner. But there is nothing to do: the criminal keeps his head on the ground. He is forced then to his knees. The little old man became irritated by this effort, which seems to disgust him and gives the prisoner a gash at the ear. The victim grimaces, but no cry escapes from the mouth. Thrice the sword falls on the head without cutting it off and on the ground fall bloody lumps of human flesh.  The white garment of the narrator is stained red in several spots. The executioner, impatient, then takes the victim’s head and brings it to the ground in a twisting, jerking motion In this twist, the backbone is broken with a snap. But the head is still attached by a long piece of flesh. So the sword turns into a saw, cutting the carotid arteries which, when opened, squirts a red liquid: with small sparkling bubbles. Next the executioner, throwing aside his machete, takes a dagger with a triangle blade and goes at the belly of one of the decapitated men which seems to offend him and with kicks he gets on top of the abdominal mass. Each of these blows creates a noise like a croaking frog. With the dagger he opens a mass of intestines mixed with food and half digested rice escapes. The executioner’s hand, now disappears up to the elbow into the atrocious opening and, after searching, emerges with a liver of small liver. The executioner roars in appreciation. The witness said he saw him coming toward him, offering him bloodied and steaming viscera. The torturer, seemed to say to the European with this: It’s good! It’s delicious!

    Tout à coup, le silence se fait; la troupe est arrivée sur une élévation de terrain où les soldats s’alignent comme pour la parade, les étendards et les trompes sur le front. Un des condamnés a pris position : affales les genoux, le cou tendu désespéré, il attend …… Le bourreau recule d’un pas, mesure son élan, lève des deux mains son coupe-coupe     … On entend un son mat et crissant : la tête coupée fait un bond d’un mètre, on ne voit plus sur le corps qu’ une collerette écarlate d’où gicle un sang tiède qui coule avec un bruit doux de ruisselet sur les cailloux. La section du cou est nette, sans ébarbure, c’est un coup de maître Voilà pour le Chinois; son compagnon de supplice aurait pu envier une mort aussi rapide. Quand l’attention se porta sur lui, on s’aperçut que par faiblesse ou par l’effet de l’épouvante, il se tenait couché sur le ventre. Le bourreau, un petit vieux à mine chafouine, essaya de faire comprendre au métèque l’incorrection de son attitude, qui ne facilitait pas la tâche de l’exécuteur. Peine perdue : le malheureux enfouissait de plus en plus sa face dans la terre. On fut obligé de le dresser de force sur les genoux. Le petit vieux, devenu nerveux par suite de cet effort qui avait l’air de lui répugner énormément, ne réussit d’abord qu’à lui faire avec son coupe-coupe une affreuse entaille à la hauteur de l’oreille. La face du supplicié fit une atroce grimace; mais, de la bouche ouverte, pas un cri ne s’échappa. Par trois fois, le glaive retomba sur une tête qu’il réduisait en hachis sans parvenir à la trancher : ne tombait sur le sol que de sanglants copeaux de chair humaine. Le vêtement blanc, le casque du narrateur qui fut le témoin de ces choses se teintèrent de rouge en plusieurs endroits. Le bourreau, impatienté, prit alors la tête de la victime pour l’incliner vers la terre dans un mouvement tournant et saccadé. Sous cette torsion, l’épine dorsale se rompit avec un bruit mat. Mais un long pan de chair retenait encore la tête. Alors, le sabre se transforma en scie, sectionnant les carotides qui, en s’ouvrant, lancèrent un liquide rouge : cela bouillonnait en faisant de petites bulles pétillantes Puis, le sinistre ouvrier, jetant son coupe-coupe, saisit un poignard à lame triangulaire et se met à califourchon sur l’un des décapités dont le ventre ballonné semble l’incommoder : a grands coups de pied, il fait remonter la masse abdominale. Chacun de ces coups provoque un bruit semblable au coassement d’une grenouille. Sous le poignard, le flanc droit du cadavre s’est ouvert et l’on voit s’échapper au dehors la masse des intestins mêlés des aliments, à du riz à moitié digéré. La main du bourreau, tout son bras droit jusqu’au coude, plongeant par l’atroce ouverture, a disparu dans le cadavre; elle fouille là -dedans jusqu’au moment ou on la voit ressortir, tout ensanglantée tenant, au bout des doigts, un foie de petites dimensions. L’opérateur rugit de satisfaction. Le témoin raconte qu’il le vit s’avancer vers lui, lui présentant à hauteur du visage, le viscère ensanglanté et fumant. La figure canaille du tortionnaire, largement épanouie semblait dire à l’Européen : C’est bon! C’est délicieux!

    Anything else cruel and unusual from the orient? drbeachcombing AT yahoo DOT com

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    23 June 2012: Dennis writes in: Just a small note here.  Your post immediately brought to mind the death of famed Japanese author/jet pilot etc. Yukio Mishima who I understand had a horrifically botched traditional Japanese suicide.Also, A Thousand Pieces of Gold would be next…an excellent book by Madaline Yen Mah which has Chinese history in a nutshell in it and there in lies the tales of the first emperor and his cruelty. Thanks Dennis